Le Général Carl Heinrich von Stülpnagel
General der
infanterie Carl-
Heinrich von
Stülpnagel
(02/01/1886 - 30/08/1944)
Le 2 Janvier 1886, Carl Heinrich von Stülpnagel naît à Darmstadt. Il est le fils du généneral prussien Carl Friedrich Hermann et de la fille du général bavarois Luise née Freiin von Tann-Rathsamhausen.
Il passe ses années scolaires à Frankfurt/Main.
Comme nombre de ses pairs, il a approuvé l'armement unilatéral de l'Allemagne sans prise en considération d'accords internationaux revendiqué et obtenu par Hitler. Mais il doit toutefois considér avec de plus en plus de scepticisme quand à l'emploi que souhatent faire les nazis de cet armement . Il est horrifié par la brutalité nazie, surtout par les meurtres commis le 30 juin 1934, il décide peu à peu de s'opposer à Hitler. En 1938, il confie à son fils que l'allemagne est dirigée par un psychopathe et à partir de cette même date, il prépare et dirige des plans de coup d'Etat. 1939/40 il a participé aux groupes de résistance des Generaux Halder et Witzleben.
Lors de l'attaque du front de l'Est, il sert dans la 17ème armée. Son attitude semble ambigüe par rapport au bolchevisme et aux juifs. Il se serait montré un antisémite forcené, notamment en ce qui concerne le progom juif de Lemberg, il existe aujourd'hui des controverses.
En 1942, il est nommé gouverneur de Paris. Il rejoint la conspiration contre Hitler.
Lors du putch du 20 juillet 1944, il se montre parmi les plus actifs, et fait arrêter 1200 hommes de la Gestapo.
Lorsqu'il apprend que l'attentat est un echec, il tente de se suicider, mais ne réussit qu'à s'aveugler.
Rapatrié en Allemagne, il sera exécuté le 30 août 1944.
Carrière
1906 Leutnant
1913 oberleutnant
Durant la 1. Guerre mondiale: officier d'état-major,
1915 capitaine,
1920 participation au Kapp-Putsch, prise en charge dans laquelle déversoir de royaume. En 1925 commandant, 1930 lieutenant-colonel.1932 colonel. 1935 commandant général. 1937 général de corps d'armée. En 1939 général d'infanterie. En 1940 général commandant de l'IIÈME corps d'armée, 1940/41 président de la Commission d'arrêt d'arme en France. En 1941 commandant supérieur de la 17. Armée (groupe d'armées de sud) au cours de la guerre contre l'URSS. De février 1942 à 1944 à Paris : Commandant de militaire en France.
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